Nous sortons de l’appartement avant quinze heures. Nous suivons l’avenida Las Heras. Nos pas nous mènent au Parque calistenia. Nous le traversons pour suivre la rue Pacheco de Melo qui aboutit au Parque Las Heras. En chemin, nous nous attardons devant deux œuvres d’art surprenantes en métal gris anthracite où un homme et une femme montent au ciel en défiant la pesanteur. L’homme grimpe un escalier à l’horizontale et la femme monte un autre escalier par le dessous... de probables escaliers de Maurits Cornelis Escher (1898-197).
Arrivés à notre destination, nous nous promenons dans le parc ombragé grâce à la généreuse ramure des arbres. J’échange des sourires. Une « patinoire estivale cimentée » offre à une jeune fille d’effectuer avec talent des figures de « patinage sur glace » avec des rollers. A proximité, un jeune papa prend en photo deux bébés jumeaux dans les bras de la maman. Des bancs à disposition de tout un chacun permettent des temps de farniente, de lecture, de bavardages, de pianotage sur les téléphones portables… La majorité des bancs est occupé. Des personnes se promènent avec leur chien. Les activités humaines de détente dans les parcs se ressemblent, quel que soit le pays. Nous suivons ensuite l’avenue Las Heras.
Nous entrons au n°2915 dans la Pastelería Artesanal La Nueva San Agustín. Rocia nous accueille et prend la commande. Patrick sirote un cappuccino. Je bois à la cuillère un Licuado banane et pêche mixé avec de l’eau. Nous savourons chacun une douceur circulaire à la mousse de chocolat. Un mini croissant est offert. La salle est agréablement climatisée. La porte d’entrée s’ouvre et se ferme régulièrement. La pâtisserie semble réputée. Deux dames se retrouvent pour bavarder. Trois quarts d’heures s’écoulent dans le flot du temps. Nous payons une douzaine d’euros à Rocia à qui je souhaite la bonne année. Nous poursuivons la marche sur Las Heras. Nous entrons le Carrefour Express au n°2643 où j’achète à Martin deux cubes de trois cents grammes de lentilles pour moins de deux euros. Nous sommes de retour chez nous vers dix-sept heures…
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