La
solution pratique immédiate, c’est l’abolition des partis politiques.
La lutte des partis, telle qu’elle existait dans la IIIe République, est
intolérable ; le parti unique, qui en est d’ailleurs inévitablement
l’aboutissement, est le degré extrême du mal ; il ne reste d’autre
possibilité qu’une vie publique sans partis.
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