L’agro-industrie,
 dans les faits, transfère au petit exploitant les risques liés à la 
propriété, au crédit et à la gestion d’une importante main-d’œuvre (qui 
exigerait forcément certains avantages), tout en récoltant les bénéfices
 d’une supervision rapprochée, de la standardisation et du contrôle de 
la qualité que l’usine moderne a été conçue pour assurer.
James C. Scott 
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