vendredi 26 juillet 2024

Hier... De Miami en Floride à New York City en avion avec American Airlines...

    Nous quittons l’appartement à onze heures moins le quart. Nous attendons dans le hall du Condomium Centro le taxi commandé précédemment sur Booking. Ubaldo, le chauffeur, nous envoie un sms pour annoncer sa venue dans une dizaine minutes. Il arrive à bord d’un 4x4 blanc Tiguan Volkswagen. À onze heures vingt, après quinze minutes de trajet, nous sommes à l’aéroport de Miami. Nous faisons filmer les deux valises noires devant le terminal D de American. Dans la forte chaleur de l’air, l’employé transpire à grosses gouttes durant la manipulation.

    Plus tard, après l’impression des cartes d’embarquement et des étiquettes des deux valises, Belgate, une dame charmante et attentive, nous accueille à l’enregistrement des deux valises filmées. Le processus dure à peine deux minutes.

    Plus tard, devant nous, dans la file d’attente du contrôle des passeports et des bagages, une grande jeune femme gracile à la longue chevelure rousse, un grand chien noir aux poils longs bouclés tenu en laisse, avance avec deux smartphones dont un au bout d’un support posé au sol qui lui arrive en haut des hanches. Elle dépasse la hampe à chacune de ses avancées. Elle distribue des cartes colorées aux trois garçons de la famille qui nous suit. Ils sont enchantés. S’agit-il d’une actrice ? Lors du contrôle des bagages, un agent met à la poubelle un flacon d’huile de coco présent dans ma trousse de toilette ; la taille est trop grande. Absurdité des règlementations farfelues et arbitraires !

    Plus tard, Mary nous accueille au salon American Express Centurion. Nous déjeunons. Après le repas, je me rends au Starbucks dans le terminal D, distant d’une quinzaine de minutes à pied. Le jeune couple avant moi paie sa commande avec trois vouchers. En revenant, tout en sirotant lentement un thé vert matcha au lait d’avoine, je croise la dame au chien qui marche tout en œuvrant sur un de ses smartphones.

    Plus tard, après avoir salué en chemin le mannequin féminin attrayant, nous sommes à la porte D43. Nous embarquons à trois heures moins le quart. Nous occupons deux places de la rangée dix-sept au niveau d’une des deux sorties de secours sur les ailes où il y a un espace plus large pour les jambes. En cas d’évacuation d’urgence de l’avion, nous sommes supposés ouvrir la porte de secours en dépit de notre ignorance de son fonctionnement. L’avion s’envole dans les airs à quinze heures trente. Patrick regarde du cinéma sur l’iPad. De mon côté, après avoir feuilleté les quatre journaux et magazines chargés gratuitement dans le salon Amex, je commence sur le Kindle la lecture du roman « Le chien des Baskerville » d’Arthur Conan Doyle. Nous dînons après dix-sept heures trente. Abricots, banane et Lärabar datte-cajou composent la partition du repas frugal.

    Le train d’atterrissage sort à dix-huit heures trois. Le Boeing 737 atterrit deux minutes plus tard sur le tarmac de l’aéroport JFK à New York. Un sms de Zoe intervient pour la course en taxi vers notre hôtel. L’avion est relié au sas de débarquement à dix-huit heures vingt-cinq Nous arrivons à la porte 31. Nous allons récupérer nos valises au conveyor (tapis roulant) 8. Plus de dix minutes de marche sont nécessaires pour parvenir au Baggage claim carouselsAprès dix autres minutes, une fois les deux valises noires en notre possession, j’envoie un sms à Zoe. Dans les minutes suivantes, au Passenger Pickup B, nous montons à bord d’une Audi Q5 noire conduite par Wan, un jeune Asiatique qui nous mène à notre hôtel. Le coucher de soleil offre des nuances isabelle flamboyantes. Près de notre destination, Wan effectue une embardée pour éviter une voiture dangereuse et manque la bretelle de sortie. Cela ajoute une quinzaine de minutes supplémentaires au trajet, incluant des ralentissements. Nous arrivons à destination à vingt heures. Nous remercions Wan avec un beau pourboire qui entraîne un beau sourire. Robert nous accueille à l’hôtel Red Hook à Brooklyn et nous attribue la chambre 306. Le check in se fait au moyen d’une tablette fixée sur le comptoir. Dans combien de temps, l’être humain sera-t-il superflu pour accueillir les clients ? Nous sommes déjà venus dans cet hôtel ; il s’appelait alors Comfort Inn
























































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