Shopping en Uruguay avec Salvador Dali à Punta del Este…

    Nous sortons de l’hôtel après avoir déjeuné chez Fresh Market. Des gouttes de pluie nous accompagnent durant la marche vers le centre commercial « Punta Shopping ». Nous nous promenons dans le centre réparti sur trois niveaux. Les boutiques sont différentes de celles de l’Europe pour la plupart. Nous entrons chez Renner où nous choisissons chacun un campera (K-Way). Je trouve trois remeras (tee-shirts) colorés à mon goût. Lucia, souriante et attentive, nous accueille à la caisse.

    Nous rencontrons ensuite en décalage temporel Salvador Dali, le maître en peinture de Patrick, qui anime une experienca immersiva cibernetica (expérience cyber-immersive).

    Au dernier niveau, nous repérons dans l’aire de restauration le comptoir pour le déjeuner de demain. Nous continuons ensuite la découverte du centre en « léchant les vitrines ». Dans celle de Harrington, j’ai un coup de cœur pour un pull léger couleur roja (rouge). J’achète également une camisa (chemise) à manches longues ocre jaune nuagé au col Mao en lin et coton. Elena, courtoise et réservée, nous accueille à la caisse.

    Autre part dans le centre, je flashe sur un morral de lona (sac à dos en toile) pour Patrick dans la vitrine de la boutique Estilo Seroc. C’est le dernier modèle disponible. Alejandra, habillée tout en noir à l’image de sa longue chevelure, nous accueille à la caisse.

    Nous allons ensuite nous désaltérer au Starbucks. La pluie tombe encore et les K-Ways sont les bienvenus. Les seize heures approchent. Angel nous accueille. Une dame s’en va en libérant les deux fauteuils où nous apprécions de nous installer pour siroter les chocolats chauds. Les minutes vadrouillent sur l’horloge du temps.

    Après des instants de bien-être, nous revenons à l’hôtel. Seules quelques gouttes échappées des nuages nous escortent durant le trajet. En marchant, je dis à Patrick que je remercie en pensées toutes les personnes qui sont entrées dans la fabrication et la livraison des articles que nous avons achetés ; nous sommes tous interdépendants les uns des autres pour vivre sur notre belle planète. Devant l’ascenseur, un bébé blond comme les blés dans les bras de sa maman m’offre un beau sourire et entoure mon index de sa menotte…