mercredi 22 novembre 2023

Escale à Barcelone en Espagne…

    Le ciel est bleu et le soleil brille. Nous prenons le petit-déjeuner au buffet Tulipano Nero au pont neuf. Nous sortons du navire à neuf heures trente. Nous prenons un taxi qui nous dépose devant le monument à Christophe Colon à Barcelone, une haute colonne corinthienne mise en place en 1888 surmontée d'une statue de Christophe Colomb pointant son index droit vers le continent américain. Le prix de la course est inférieur au montant de la navette proposée par Costa… et en plus, nous avons la liberté de l’heure de départ et celle du retour. Nous nous rendons sur la Rambla où nous emportons à dix heures dix un exemplaire de mon nouveau roman Apavudia en espagnol déposé dans un locker Amazon que nous ouvrons avec l’application du site via l’iPhone ; la magie des ondes ! Nous continuons ensuite de remonter la Rambla jusqu’à la place de Catalunya où nous entrons chez Primark. J’achète una camiseta estampada (tee-shirt imprimé) prune avec le mot Barcelona et une paire de pantuflas clásicas (pantoufles classiques) à sept euros, pour le bateau. En sortant du magasin, nos pas nous mènent vers le parc de la Ciutadella pour revoir la cascade monumentale de la fontaine Neptú, à côté du kiosque à musique. En chemin, nous admirons à nouveau l’Arc de triomphe. Nous revenons ensuite au monument à Christophe Colon en suivant le littoral à distance. Nous nous attardons devant une superbe fenêtre en encorbellement faisant saillie sur le mur d’une façade d’un ancien bâtiment. Patrick voit une table et deux chaises dans l’oriel. La Ronda Litoral dévoile une belle arche sculptée en bois en forme de vague devant le pont rouge Puente móvil rojo. Le ciel grand bleu et le soleil magnifient la promenade. Nous prenons un autre taxi à onze heures quarante. Le chauffeur barbu nous dépose à l’entrée du terminal. Deux autres navires Costa sont à quai : le Pacifica et le Firenze. Nombre de passagers embarquent à Barcelone et nous devons intégrer la file d’attente pour pouvoir monter à bord. Une organisation qui laisse à désirer, car les passagers en excursion ou visite libre devraient pouvoir monter à bord sans être pénaliser par l’embarquement des nouveaux voyageurs. Midi est passé quand nous montons la passerelle. Nous déposons nos emplettes dans la cabine et nous allons déjeuner au buffet du pont neuf. Nous intégrons une autre file d’attente. Maintenant, les mets sont servis par des membres du personnel du bateau. Lors d’une précédente croisière, avant la folie politico-covidienne, nous pouvions nous servir librement ; le service plus rapide de tout un chacun évitait les files d’attente. Après le repas, nous nous rendons à la Réception au pont trois suite à une erreur dans l’application Costa qui n’a pas validé hier mon drill (exercice de sauvetage virtuel) effectué sur mon iPhone avec Patrick. Une autre file d’attente laisse s’envoler une trentaine de minutes. J’attends notre tour assis sur un cabriolet dans l’atrium et je rejoins Patrick quand notre tour arrive. L’employé courtois et efficace garde la feuille de réclamation et nous dit qu’il rectifie cette erreur. L’échange a duré deux minutes. Nous revenons en cabine pour y passer le début de l’après-midi. Une pause détente s’offre à nous au pont neuf après être allé à la Gelateria Amarill au pont cinq où je prends en photo l’atrium. Je sirote de la camomille et je teste la saveur d’un petit carré Sacher chocolat. Patrick se prépare un chocolat chaud au lait, siroté avec des churros. La suite de l’après-midi se passe dans la cabine en ouvrages créatifs sur ordinateur. Une pause détente s’offre à nous au pont neuf après être allé à la Gelateria Amarill au pont cinq où je prends en photo l’atrium. Je sirote de la camomille et je teste la saveur d’un petit carré Sacher chocolat. Patrick se prépare un chocolat chaud au lait, siroté avec des churros. La suite de l’après-midi se passe dans la cabine en ouvrages créatifs sur ordinateur.  Nous dînons au restaurant club Fascinosa au pont onze. Nous optons pour des gnocchetti sardes sautés aux courgettes et tomates cerises… un poivron farci au riz au safran… et de la soupe de légumes. Domenico du Pérou apporte la corbeille de pains variés. Je prends deux photos du restaurant dont une où Ohla est en train d’écrire. Elle nous apprend le mot « Merci » en philippin : « Salamat ». Nous sortons du restaurant un peu après dix-neuf heures. Après un bref passage à la cabine, nous allons au théâtre. Je continue la lecture des aventures de Sherlock Holmes avant le show. À dix-neuf heures trente, le spectacle « EXTRAlive » commence ; une présentation de l’équipe d’animation du navire au cours d’un voyage entre la scène et les coulisses ponctué par la prestation de divers artistes dont deux gymnastes et acrobates à la musculature fine et puissante…






































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