Nous quittons l’appartement après onze heures trente et nous allons directement au café l’Écomotive où nous nous installons à l’angle de la salle. Nous optons pour la formule trois : de la tartiflette aux champignons fumés. Nous saluons la jeune femme à la caisse qui a participé au service. Nous bavardons un instant. Elle sait que nous allons en Argentine et nous demande si nous reviendrons à Marseille ; nous répondons peut-être ! Nous allons à la gare via les escalators du métro pour prendre un taxi. Dans la file d’attente nous bavardons avec Natalia, une jeune femme originaire de Florence en Italie qui vit à Paris où elle a créé une association dont elle est employée. Elle restera quelques jours à Buenos Aires avant d’aller à Ushuaïa, puis ensuite au Pérou. Natalia nous propose de partager la course jusqu’au port de croisière ; nous acceptons avec plaisir. Le chauffeur nous dépose à la porte quatre au port de Marseille, le long du chemin du Littoral. Dans les minutes suivantes, Sofiane procède aux formalités d’embarquement. Il garde les passeports qui nous seront rendus pour le débarquement à Buenos Aires. Après le contrôle rapide des bagages, nous montons à bord du Costa Fascinosa. Nous nous rendons directement dans la cabine 7276, notre chez-nous jusqu’en Argentine. Nous nous installons. Ensuite, nous allons à la réception au pont trois pour valider le forfait Internet et le pack d’eau minérale réservés avant le départ sur le site de la Costa. Niyas, le « butler », le majordome, se présente dans la coursive quand nous sortons de la cabine Nous lui parlons du forfait d’eau minérale ; il déposera chaque jour de l’eau minérale dans la cabine. Dans la file d’attente pour le wifi, nous bavardons avec une dame qui habite à la Grande Motte ; elle débarquera avec son mari à Rio pour ensuite se rendre en avion aux célèbres chutes d'Iguazú. Une pause détente se déroule chez nous après seize heures. Je sirote de la camomille emportée au buffet du pont neuf. Nous assistons à seize heures trente au Théâtre à une réunion d’informations pour les passagers qui ont embarqué à Marseille. Maeva, l’hôtesse francophone, s’adresse aux passagers depuis l’estrade de la scène de spectacle. Comme nous avons suivi le « drill » depuis l’application de l’iPhone dans la cabine, nous avons juste à faire scanner nos cartes Costa en quittant le théâtre. Les autres passagers, munis de leur gilet de sauvetage, effectuent le drill avec Maeva. Patrick appelle Francette. Les dix-huit heures approchent, le navire lève l’ancre. Nous dînons à dix-huit heures trente au restaurant club Fascinosa au pont onze. Nous optons pour les deux mets végétariens proposés au menu : potiron rôti servi à température ambiante, sauce aigre-douce, menthe et amandes grillées… et crêpes farcies aux cèpes, gratinées au four. Un potage de légumes complète notre sélection. À dix-neuf heures trente, nous assistons au théâtre à un spectacle de flamenco…
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