Nous allons déjeuner au restaurant grec méditerranéen végétarien « C’est Bon Salades maison » au 11 avenue du Maréchal Foch à Marseille. En chemin, nous passons devant l’étonnant Palais Longchamp. Moussaka, falafels et spécialités grecques dévoilent leurs saveurs. Je vois dans les produits grecs à vendre les mêmes boîtes d’olives Kalamata que je commande chez Greek Flavours. Notre hôtesse note l’adresse du site Internet. Nos pas nous mènent ensuite dans le Parc Longchamp. Une cascade invite à la contempler. Nous flânons dans le parc. Des gouttes de pluie nous accompagnent. Nous entrons dans le Funny Zoo. Nous revenons ensuite sur nos pas par un autre chemin pour aller voir d’en haut les fontaines du château d'eau et les sculptures allégoriques du palais Longchamp qui fut inauguré en 1869. Le château d'eau célèbre l'arrivée des eaux de la Durance par le canal de Marseille long de plus de quatre-vingt kilomètres, la principale source historique d'eau potable et d'assainissement de la ville phocéenne. En chemin, nous passons devant l’Observatoire. Le site des fontaines est grandiose. Espaces verts, colonnades, bassins en cascades, statues allégoriques à la gloire de l'eau, de la fertilité et de l'abondance embellissent les regards. Je prends des photos ; des sculptures de Tritons et autres créatures légendaires se dévoilent. Les trois taureaux de Camargue, qui s’ébattent dans le dernier bassin supérieur, surmonté des trois personnages allégoriques féminins, la Durance, le blé et la vigne, sont immortalisés sur la pellicule numérique. De chaque côté, un triton sonne de la conque. Un griffon surplombe chacun des deux grands escaliers d’honneur. Pour éviter de descendre les marches, nous retraversons le parc pour sortir sur la rue Lacépède. La pluie a décidé de tomber en continu. Protégés du parapluie pliant rouge acheté cet été passé en Italie, nous prenons la direction du boulevard Longchamp pour aller boire un thé chez Teavora au numéro 65. La déco est colorée et originale. Nous prenons place à la table près du vitrage et nous regardons les piétons qui défilent sous un parapluie pour la plupart. Protégés par la toile, les smartphones occupent une place d’honneur dans le va-et-vient. Patrick prend un chocolat chaud et je sirote un thé rooibos Kilimandjaro. Nous sortons vers quinze heures trente. La pluie continue de tomber. Nous allons effectuer des courses chez Monop et Naturalia sur la Canebière. Dans la boîte à livres du girafon bleu, Patrick emporte le livre « Le Pigeon » de Patrick Süskind. En revenant chez nous, nous achetons une brioche et une part de tarte aux abricots dans une boulangerie. L’éclat du superbe sourire de la jeune serveuse éclipse la grisaille de la pluie qui offre une accalmie…
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