jeudi 30 novembre 2023

Des oiseaux ont accompagné le navire toute la journée

 






Coucher de soleil printanier sur l'océan Atlantique....

 

Nous voguons au printemps dans l’hémisphère sud sur les vagues fougueuses…

    Après le déjeuner, nous nous promenons au pont trois en compagnie d'Eole qui prend plaisir à souffler. La petite dame asiatique à la chevelure blanche mi-longue répond à mon sourire. Une jeune femme élégante nous croise ; elle tient une liseuse. Après sa promenade, elle s’assoit sur un banc pour lire. Des oiseaux se promènent dans le ciel bleu voilé de nuages vagabonds, volent sur les vagues fougueuses et écumeuses, poussent des cris ludiques quand ils s’amusent entre eux. L’océan est agité et les vagues ondulent, se creusent, se bousculent… Le navire cingle joyeusement vers la prochaine escale au Brésil…







Good Morning Baltimore...

Oiseaux accompagnent le navire ce matin

 



Position du navire ce matin à 6h30 heure locale (10h30 heure de Haute Savoie)

 


Bonne fête André

 


Pensée du jour

 L'existence entière est pleine d'amour, pleine de liberté, sauf l'être humain qui, lui, n'est pas heureux. Et personne n'est responsable de ceci à part vous.

Osho
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Concours de chansons d'interprètes masculins sur le navire - Passage de l’équateur en fin de soirée…

 Nous assistons à vingt heures au spectacle « The voice of the sea » interprété par des passagers du bateau. Le sixième et dernier candidat, un Argentin, interprète la chanson « My way » de Frank Sinatra…

mercredi 29 novembre 2023

Position du navire ce matin à 6h45 (9h45 en Haute Savoie)

 


Pensée du jour

 

Pourquoi la terre serait moins digne d’amour que notre semblable ; elle qui nous donne l’air que nous respirons, la nourriture, la beauté et le mystère insondable... Je suis convaincu que la destruction progressive de notre environnement est lié au tarissement de l’écoute et que d’une façon générale on tue ce que l’on cesse d’entendre. L’instinct de mort est le signe d’un manque profond.
Ce qui pousse l’homme à tuer c’est la perversion de la nécessité fondamentale d’une présence sans laquelle la vie devient un enfer. Je crois que toutes ces conduites insensées viennent, pour une large part, de ce que la terre ne chante plus en nous.

CLAUDE MARGAT


mardi 28 novembre 2023

Spectacle « Radio » au théâtre qui célèbre les succès des années soixante à nos jours...

    Nous assistons à dix-neuf heures trente au spectacle « Radio » qui célèbre les succès des années soixante à nos jours. Les danseuses et les danseurs, aux costumes variés créatifs et colorés, débordent d’énergie, de souplesse, de talent et d’allégresse. Je suis conquis et sous le charme. La chanson « Que je t’aime » de Johnny Halliday et une chanson du groupe Abba font partie du vaste répertoire musicale de la soirée…












Détente gourmande en plein océan Atlantique entre tropique et équateur…

    Après le déjeuner au buffet, nous allons nous promener au pont trois. La chaleur est estivale.  La proue acérée du navire fend les eaux en chassant de chaque côté des vagues tumultueuses. De retour à la cabine, le morceau musical « Memories of an angel » de Georg Deuter, de l’album « Mystery of light », se laisse entendre.

    À seize heures, nous nous offrons des instants de détente gourmande en plein océan, entre tropique et équateur, à la Gelateria Amarillo au pont cinq. Nous optons de concert pour une coupe « Black cherry » avec un chocolat chaud noir onctueux orange et cannelle. Les chocolats chauds nous sont offerts par notre hôtesse. Nous nous régalons. Nous bavardons plaisamment avec le serveur Alisson, un grand jeune homme de ma taille qui habite Sao Paolo au Brésil. Après ces instants de farniente chaleureux, nous découvrons le pont cinq, riche de deux pianos à queue dont un rouge rubis. Une œuvre se dévoile deux pont plus bas dans l’îlot du restaurant principal. Une autre œuvre, de Giovanni Gasparro, créée en 2012 pour la mise à l’eau du navire, intitulée « Anomalia con il cappello di Largillière », se dévoile entrepont dans une descente d’escalier où nous renseignons sur le palier une charmante dame en fauteuil roulant, escortée d’une jeune femme, qui cherche à se rendre à la réception, uniquement accessible par les ascenseurs à la poupe du navire. Nous l’invitons à traverser le casino et divers espaces pour s’y rendre. La conception du navire complique la vie des passagers. Tous les commerces du pont sont en travaux et inopérationnels durant la traversée. Nous retournons ensuite à la cabine…